Après que Dieu se fut retiré, caché, pour faire place au monde, la lumière sainte jaillit et fut contenue dans des vases. Mais sa puissance était telle qu’elle les fit éclater: c’est la brisure des vases. Nombre d’étincelles cependant restèrent attachées aux débris des récipients, entourées «d’écorces» qui empêchaient de les atteindre. Et ce fut dès lors la responsabilité des hommes que de fendre les écorces pour libérer les étincelles emprisonnées…
Tel je vois Georges depuis ce récit de la Kabbale, comme l’homme qui cueille, recueille et offre les étincelles dans ce domaine dont il est si difficile de briser la gangue de médiocrité:
Le théâtre.[…]