On est vraiment très heureux, nous, l’Ambassade de France et l’Institut Français, d’avoir été invités, parce qu’il y a des relations naturellement très proches avec la revue.
C’est un petit cadeau, je crois, que vous nous faites, parce que c’est l’ouverture, aujourd’hui, du Salon du livre, à Paris, et moi, j’ai trouvé, bien entendu, le numéro spécial Bucarest‑Paris de votre revue, qui a été édité au moment où la Roumanie était l’invitée d’honneur au Salon du livre, à Paris. La revue a joué son rôle de synthèse, son rôle d’accompagnement de la littérature : il faut avoir vraiment un sacré courage pour prendre le risque, aujourd’hui, artistique, je crois, d’une revue littéraire de synthèse pour le XXIe siècle.